Le Messager

Il n'y a pas de commune mesure entre la fatigue phisique et psychologique que nous avions connu autrefois avec celle de la fatigue phisique et psychologique aujourd'hui. Aussi, nous ne pouvons pas non plus dire que le travail autrefois était plus pénible à supporter phisiquement bien que celui-ci s'avèrait plus dur à accomplir. La plus part du temps nous étions plutôt penchés à labourer et cultiver la terre pour qu'elle nous donne ses fruits en temps convenable. Moi même ayant vécu une periode de ma jeunesse à cultiver la terre, je peux dire que cela n'était pas comme une évidence pour moi d'autant qu'à cette époque je devais travailler dur pour ne rien gagner presque. Mais une chose est certaine, c'est que je ne me suis pas rendu compte que bien qu'étant fatigué phisiquement et à ne pas gagner grand chose n'était, ne serait-ce, qu'un avantage pour moi puisque je pouvais aussi bénéficier des fruits de la terre. Et losqu'une terre abreuvée par des pluies fréquentes produit des plantes utiles à ceux pour qui elle est cultivée, elle ne peut que se réjouire. De même, moi aussi je me réjoui en même temps puisque je bénéficie de ses fruits. Il n'y a donc pas ici de raison de dysfonctionnement sur mon état d'être si on prend en compte ces éléments relatifs à nous mêmes les humains. Si nous estimons que nous avons évolués sur la terre avec les différentes technologies de nos jours, nous pouvons grandement aussi nous appercevoir des difficultées rencontrées pour notre planète et nous même. En effet, la terre ne donne presque plus ses fruits puisqu'étant malade elle même et destinée à son ultime déclin. La densité de population sur la terre en voie de progression alourdie l'aggravation des problèmes sociaux, psychologiques et physiologiques. Sur le domaine de la santé nous pouvons dire qu'il y a beaucoup à faire et encore d'avantage puisque les humains seront de plus en plus malade comme la terre elle même. Mais si la terre et tout ce qu'elle renferme a été méprisée par mon attitude, je dois aussi savoir que ça n'est pas la terre que je méprise, mais moi même. Et même, je suis fait de terre pour enfin retourner dans la terre d'où je suis venu puisque je ne suis pas maître de moi même. Et si je suis maître de moi même, alors je peux dire que rien ne peut m'accabler. Moi même, je suis pressé comme un citron, mais non réduit à l'extrémité à cause des calamités présentes. Ce n'est donc plus cette fatigue que nous connaissions autrefois qui nous asssaille, car si nous sommes fatigués, ce qui est normal de par notre nature, nous pouvons associer à cela le phénomène de stress, le fait de ne pas reconnaitre notre faiblesse, ainsi, nous sommes forcément abattus et épuisés. Mais heureusement, je peux recourir à la force qui m'a été donnée, car, bien que la terre est en voie de désintégration et qu'étant impliqué moi même je ne suis pas pour autant responsable dans la mesure où, ça n'est pas pour cela que je serai condamné. Mais j'ai la possibilité d'être attitrer vers le ciel plutôt que de retourner dans la terre pour toujours. Et si je suis l'auteur d'un des troubles causant la perte de l'autre, quel sera le sort qui m'est réservé.  Si un changement doit se faire dans notre vie cela se situe au viveau de l'individu lui même et non sur ce que nous pouvons faire puisque tout ce que nous pourrions créés à l'avenir existent déjà. Et si cela vous étonne, moi non. Il y a telle maladie qui ne mène pas à la mort, mais telle autre maladie, c'est celle qui mène à la mort. C'est donc à cause de notre oeuvre même que nous sommes malades, et les maladies que nous connaissons aujourd'hui sont pour la plus part autres que celles que nous avons connus. Il est vrai que nous entreprenons des recherches afin d'apporter des solutions aux problèmes humains sur la terre, les chercheurs s'investissent à tout jamais pour comprendre notamment les phénomènes naturels tels que les tremblements de terre ou le réchauffement climatique. mais nous ne cherchons pas là ou il faut pour apporter les réponses utiles à notre bien être et la dévastation s'avère forcément catastrophique. L'or et l'argent sont les deux éléments et métaux contributeurs aux phénomènes néfastes pour notre société ou les humains. Cela devient un piège pour l'utilisateur, inspiré à en avoir toujours plus, il se condamne non seulement lui même, et aussi son semblable. Juste un petit effort, si nous devions seulement répartir les richesses mondiales de manière à rendre plus équitable le bien être des uns et des autres, certains pays pourraient sentir une diminution radicale du déficit de la sécutité sociale. Mais il est impossible d'atteindre cette perspective de vie dans la mesure où dans une maison, il n' y a pas que de vases d'or et d'argent mais aussi des vases de terre et de fer. Et ce n'est pas à moi de changer le cours des choses mais je dois simplement en prendre connaissance. Et si j'en viens aussi à m'attacher aux choses de la terre, je ne suis donc plus héritier du trésor qui m'attend et qui m'a été offert. Car là où est mon coeur, là aussi sera mon trésor et Grâce à Dieu. Et ni la mort, ni les maladies, ni les souffrances, ni la faim, ni le dénuement a de pouvoir sur moi, bien que je peux tomber là où je suis, retenez bien cela. Pour vous donner une petite idée. Vérifions bien ce que dit la prophètie, Abraham n'a eu aucun héritage pas même de quoi poser les pieds dans le pays promis, mais Dieu lui fit voir de loin, de long en large celui-ci. De même Jésus-Christ dit: Les oiseaux ont des nids, les renards ont des tanières, mais le Fils de l'homme n'a pas de quoi reposer la tête. Ce n'était donc pas la mission qu'il avait d'être roi sur la terre, mais c'est celle de devenir le Roi des rois. lorsque Jésus était sur la terre, lors d'une interlocution, en se faisant réprimander en quelque sorte pour s'être mit à table avec les peagers et de partager le repas avec eux. En effet, ces intervenants se croyants justes aux yeux de Dieu, ils se mirent à dire aux disciples de Jésus. Pourquoi, votre Maître mange t-il avec les pêcheurs et les peagers. Et Jésus répond: Allez apprendre ce que signifie; je veux la miséricorde et non le sacrifice. Car je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pêcheurs. Alors les disciples de Jean vinrent et dirent à Jésus: Pourquoi nous et les pharisiens jeûnons nous alors que tes disciples ne jeûnent pas? Et Jésus répond: Les amis de l'Epoux, peuvent-ils mener deuil alors que l'Epoux est avec eux? les jours viendront où l'Epoux leur sera enlevé et ensuite ils jeûneront. Personne ne met une pièce de drap neuf à un vieil habit, car le morceau tire sur le viel habit et il en résulte une déchirure pire. Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres, autrement les outres se rompent et le vin se répand et les outres sont perdues. Mais on met le vin nouveau dans des outres neuves afin que l'ensemble se conservent. Prenons l'exemple d'un arbre dont les branches se nourrissent d'une même sève provenant de la racine afin de porter des fruits. Et ce Jésus que nous connaissons ne s'est pas glorifié aux dépends des branches mais s'en est remit à la racine qui le portait et sa subsistance venait de Dieu. Maintenant, si j'en viens à souffrir jusqu'à mourir à cause de la faim ou autre, je n'ai qu'à en prendre à moi même et non aux autres ni à Dieu. Si ce grain ne meurt, il ne peut porter des fruits, mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruits dit Jésus en parlant de lui même. Et c'est lui qui nous a montré selon le Père les fruits que nous devons portés. Et quoique certains arbres ne peuvent porter des fruits on peut aussi les reconnaître par leurs propre fruits puisque tous ne sont pas forcément des bons fruits. Un homme simple vaut mieux qu'un lion en pleine liberté et l'apparence n'a pas forcément de la valeur. Voyez bien que je n'hésite pas à m'impliquer dans mes textes selon mes responsabilités. Et je ne suis ni medecin, ni docteur le fait de n'avoir fait aucune étude, mais je préfère labourer la terre.